la chanteuse

Qu'attends-tu, femme cachée dans le noir

Juchée sur ce haut tabouret de bar

Au milieu de cette pénombre tu as l'air éthéré

Tu vas entrer sur scène,  pour tous les émouvoir

Commence alors ton tour de chant

De ta voix rauque, tu ensorcelles la salle

Une lumière blanche tombe sur ta peau pâle

Les courbes de ton corps à peine s'en détachant

Donne une ambiance voluptueuse

Dans cette atmosphère ouatée

On ne distingue que tes jambes. 

Tu es irréelle et fabuleuse.

Fait nous rêver avec cette chanson

Qui parle de la réalité

Et dans ta voix beaucoup d'authenticité

 son accompagnateur fait pleurer son accordéon

peintrefiguratif

Jacqueline a parcouru sa première étape sans pluie et parfaitment en forme à l'arrivée

bises à tous ses amies (is) de sa part

Été brûlant

C'est l'été la chaleur brûle la peau

Elle est seule dans cette pièce

Qui ressemble à une cellule

La fraîcheur de sa peau posée sur le mur

Lui donne quelque répit

Elle regarde dehors

Un puits de lumière et de verdure

Attire son regard

Captive elle est, on l'a enlevé

Dépouillé de ses vêtements

Comment calmer les battements de son cœur

Comment apaiser la morsure

 De la peur qu'elle ressent

Il fait jour, mais quand la nuit viendra

Pas de lumière pour apercevoir

Celui qui l'a enlevé et pourquoi

Rien dehors que le bruit

Des oiseaux  dans les arbres

Pas une âme qui passe pour l'appeler

Un léger vent pénètre par la fenêtre

Et fait voler ses beaux cheveux

Non elle ne se retournera pas

Lorsque la porte doucement s'ouvrira

Il ne l'a verra pas pleurer de désespoir,

Mais qui est-il

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mort d'un amour

Appuyée sur le mur tu regardes

 L'obscurité comme une âme en peine.

Tes pensées t'entraînent loin

Tu es seule et tu pleures.

Ton chagrin est lourd de son absence

Que feras-tu de ta vie maintenant

Qu'il n'est plus là.

Que feras-tu de tes nuits.

Ce silence t'obsède et te pèse,

Cette chambre te rappelle trop son amour.

Les draps ne sont plus froissés

Comme par le passé.

Il ne flotte plus dans cette chambre

Que ton parfum qui te semble fade.

Chambre sans vie, vide de sens

Tu es amputée d'une part de toi-même

La mort te l'a enlevé, te privant de son amour

Te laissant seule et abandonnée.

Peintrefiguratif

Elle a perdu la tête et le regrette amèrement

Pourquoi a-t-elle crue tout ce qu'il lui avait promis

Elle s'est donnée à lui

Et la voilà à genoux sur ce gazon

Punie privé de ce qui lui servait à penser

A rêver, l'espoir n'existe plus pour elle

Elle ne peut même pas voir cette tête

Posée sur cette colonne, auréolée de feuilles et de fleurs

Belle tête de jeune fille au teint rose

Ce visage et d'une pureté d'ange

Elle refusait de donner son corps à cet homme

Homme diabolique et pervers

Que va-t'il faire de ces deux parties

Les réunir, pour n'en faire qu'une

Une jeune Femme qui sera enfin à sa merci

La pureté et la sensualité,

Voilà ce qu'il prévoit en les assemblant ensemble

Monstre, la damnation t'attend

Tu crois mettre à ta merci cette jeune fille

Et qu'elle sera enfin tienne

Elle t'obsède, jours et nuits

Tu penses enfin la tenir dans tes bras.

Dés la première rencontre

Tu l'as désiré à t'en faire mal

Elle t'a repoussé gentiment

Et toi par passion tu es devenu ce monstre

Tu brûleras dans la flamme de l'enfer

Pour cette abomination

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L'homme et ses pensées

Tu as pris la pose comme le penseur de Rodin

Et pourtant tu ne le sais pas

Tu es pris dans tes pensées

Tu cherches toujours ce qui c'est passé

Qu'est il arrivé de si grave

Pour te retrouver si accablé

Ta force ne peut rien contre le destin

Tu dois réagir au plus vite

Cette obscurité te permet de réfléchir

Seuls les muscles de ton corps tressaillent

 Au rythme de tes tremblements

Le moment est grave et enfin tu te décides

Avec lenteur, enfin tu te lèves

Tu as pris ta décision

Tu réagis  et d'un pas alerte

Qui te conduit vers la porte

Tu tournes la poignée, que vas-tu faire

Maintenant que tu sais ou te diriger

Attention à ta  colère

Qu'elle ne soit pas mauvaise conseillère.

peintrefiguratif